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executivelife (...ou presque)
21 décembre 2010

>> Oh, god, my chance has come, at last.

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Quelques pas dans la neige pour ne plus me souvenir.
Considérer l'immensité albinos dans le rétroviseur et ressentir l'extase de la page blanche.
Faire à nouveau parler la poudre.
Ignorer la somme nulle pour envisager le produit à venir.
Semer les regrets et les déceptions en route.
Se garder des illusions en évitant soigneusement la coupable félicité du renoncement.
Les craintes recouvrent des possibilités frileusement tues.
Persévérer quoi qu'il en coûte.
Quitte à renverser des pendules et à arrêter de contempler les incessants allers-retours d'une onde qui jamais ne nous rendra avec la même intensité l'admiration béate qu'on lui accorde.
Il vaut la peine de tomber dans certains panneaux, de rester dans les clous, parfois.
D'imaginer mieux, d'être plus.
De s'accomplir, enfin.

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Commentaires
L
C'est assez peu énigmatique car j'ai fait en sorte qu'il n'y ait pas besoin de clé pour comprendre, cette fois-ci. <br /> Mais rien ne dit que je récidiverai !
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A
En fait, c'est moins énigmatique que je ne l'avais cru au premier abord (à 7h54 j'ai l'esprit embrumé, et oui).
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L
...ou de ne pas perdu, en tout cas ! ;)<br /> (et dire que j'ai tenté d'être plus clair...).
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A
Énigmatique mais je perçois comme un sursaut d'optimisme et de confiance en l'avenir. C'est toujours ça de gagné. :)
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A
Toujours aussi énigmatique n'est-ce pas ?
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