>> Mais allez-y, dites-le !

À San Francisco, les responsables du RER local ont eu la brillantissime et tout à fait inutile (donc indispensable) idée d'installer des balançoires au milieu des rames. On a beau dire, ils doivent pas connaître les métros bondés du matin pour lesquels on embauche désormais, même en France (cf. un excellent reportage d'Envoyé Spécial, sur F2) des types spécialement chargés de pousser les pauvres franciliens qui, une fois rentrés, n'auront plus qu'à sortir leur masque à oxygène pour espérer ne pas mourir d'asphyxie. Yahee.
Sinon, voilà peut être une excellente nouvelle. Enfin, peut-être quelque chose qui va me faire abandonner le binôme Le Mouv'-Inter pour le matin : THERE

Bon, faut le dire, passer du trop-plein au rien, ça fait un choc.
Avoir le sentiment d'être tout seul dans sa ville, c'est pas non plus super agréable dans l'absolu.
Heureusement, il fait beau et c'est pas désagréable de flâner entre les gens qui ont l'air heureux.
Pour une fois, je dirais que leur bonheur peut sembler contagieux, alors autant en profiter.
Entre levers à pas d'heure, repas qui ressemblent à rien préparés par le grand cuisinier que je suis et documentaires soporifiques mais VRAIMENT UTILES sur Arte, je crois avoir réussi mon début de semaine.
Bon, allez, je m'attèle à l'études des petites recherches que j'ai faites sur notre bon ami le poète François de Malherbe.
Je reviens au texte !